Une découverte pour moi !

Je connaissais la courge spaghetti de nom mais n'avais jamais eu l'occasion de la gouter et encore moins la cuisiner...

Maintenant, c'est chose faite et je dois dire que ce plat a fait l'unanimité à la maison !

2 courges spaghetti lavées (voir la photo)

1 kg haché de boeuf

1 grosse boite de tomates concassées

( l'équivalent en tomates fraiches si vous réalisez cette recette en été)

2 oignons finement émincés

3 belles gousses d'ail finement émincées

1 bocal de champignons

100 g parmesan râpé

3 càs huile d'olive

1 feuille de laurier

herbes de Provence, paprika

sel, poivre

Cuire les courges entières pendant 45 minutes dans de l'eau bouillante.

Pendant ce temps, réaliser la sauce bolognaise.

Faire blondir les oignons dans l'huile d'olive.

Y ajouter le haché en le mélangeant pour ne pas qu'il fasse de "boules" de viande.

(comme pour la bolo !)

Cela prend une dizaine de minutes.

Ajouter ensuite l'ail, les tomates, les champignons, le laurier et les épices.

Laisser mijoter le tout, à feu doux, durant une demi-heure.

Vérifier la cuisson des courges et si besoin prolonger un peu la cuisson.

(La peau doit être souple et un pique y entre facilement.)

Les ouvrir en deux dans le sens de la longueur et ôter les graines (au milieu, elles sont entourées de fibres plus foncées que la partie "spaghetti").

Gratter alors tout l'intérieur avec une fourchette afin de détacher les "spaghetti".

Les mettre dans un égouttoir et presser légèrement pour éliminer l'eau.

Vérifier l'assaisonnement de la sauce.

La verser dans un grand saladier et y mélanger intimement les spaghetti et les 3/4 du parmesan.

Verser alors la préparation dans un grand plat à gratin.

Saupoudrer du reste de fromage.

Cuire à four préchauffé à 200° pendant 30 minutes.

Servir bien chaud puis déguster !

Bon appétit !

J'ai eu l'immense bonheur cette semaine de me rendre à Forest National pour y applaudir, une dernière fois, une de mes idoles.

Je vous en fais profiter un peu...

Encore une petite recette toute simple et gouteuse de ma petite Lulu

(ma maman).

J'y ai cependant ajouter ma petite touche personnelle :

le piment d'espelette et le vin blanc !

1 kg filet de cabillaud (de chez Escavir)

4 gros oignons coupés en lamelles

6 grosses tomates coupées en rondelles

1 kg pommes de terre coupées en lamelles

(comme pour le gratin dauphinois ou les chips)

3 belles gousses d'ail finement émincées

30 cl fumet de poisson

(réalisé avec un cube pour moi !)

30 cl vin blanc sec

thym (si possible frais)

huile d'olive

sel, poivre

piment d'espelette

Dans une sauteuse, faire fondre les lamelles d'oignons dans l'huile d'olive chaude.

Ne pas les laisser colorer !

Huiler un plat à four et y déposer en couches la moitié des oignons, la moitié des lamelles de pomme de terre et la moitié des rondelles de tomate.

Parsemer d'ail, poivrer.

Déposer les filets de poisson, saupoudrez (selon gout) de piment d'espelette puis ajouter le thym.

Recommencer ensuite l'opération avec l'autre moitié des ingrédients (oignons, pommes de terre, tomates).

Poivrer et saler (très peu pour moi car le fumet l'est déjà !).

Verser le fumet et le vin.

Arroser généreusement le plat d'huile d'olive.

Cuire à four préchauffé à 200° pendant 45 minutes.

Couvrir la préparation d'alu les 15 dernières minutes.

Servir bien chaud ce plat unique !

Toujours un réel succès chez nous l'oseille !

Pourtant cette plante est encore méconnue pour beaucoup !

Y gouter c'est l'apprécier... ou pas !

2.5 kg pommes de terre bintje

800 g oseille

2 grosses noix de beurre

2 jaunes d'oeufs

sel, poivre, muscade

Cuire les pommes de terre à l'eau salée.

5 minutes avant la fin de cuisson y ajouter les feuilles d'oseille.

Egoutter, puis passer au moulin à légumes.

Incorporer à la purée obtenue le beurre, les jaunes d'oeuf, le poivre et la muscade.

Servir bien chaud, accompagnée d'une viande ou d'oeufs (au plat ou omelette).

Servie ici avec un pain de viande aux cerises.

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Voici une petite recette toute simple qui réchauffe par ce temps automnal !

Elle me vient de Jean-Marc et Nadine.

J'en profite d'ailleurs pour faire un pti clin d'oeil au "Patron".

4 côtes de porc (de préférence spiering)

5 gros oignons finement émincés

2 kg pommes de terre à chair ferme (j'ai pris des charlotte)

2 càs farine

2 grosses noix de beurre

sel, poivre

1 gros bouquet de thym

laurier

Saler poivrer les côtes de porc.

Les singer (passer dans la farine).

Les faire roussir dans le beurre. Réserver.

A la place, faire dorer les oignons.

Ajouter le thym, laurier et les côtes de porc.

Les pommes de terre coupées en rondelles

Saler, poivrer, couvrir d'eau.

Couvrir la casserole avec un film alu sous le couvercle.

Laisser mijoter à feu doux 3/4 h.

Servir bien chaud.

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Avec un jour de retard, je souhaite une bonne fête à tous les papas.

Une pensée émue pour le mien.

J'adore les poireaux mais pas cuisiner comme cela...

Je me souviens le cinéma que je faisais lorsque maman en servait au repas !

Par contre mes 3 "zhoms" adorent ça !

Alors, j'ai profité d'avoir des poireaux tout frais cueillis du jardin pour leur en cuisiner !!!  Recette toute simple qui me vient de ma p'tite Lulu...  ma maman.

4 à 6 blancs de poireau par pers.

(selon l'appétit et/ou la taille des poireaux)

(les verts seront congelés pour une soupe, une rata,...)

Sauce pour 4 personnes :

un bol à soupe de mayonnaise

(de préférence maison...  ici il n'y a que de la "maison" de toute façon !)

2 oeufs durs écrasés à la fourchette

(pas mixés !)

persil haché

ciboulette ciselée

Cuire les blancs de poireaux à la vapeur.

Réaliser la sauce en mélangeant les oeufs,

la ciboulette et le persil à la mayonnaise.

Servir les poireaux accompagnés de pommes de terre nature,

de la sauce tartare et d'une côte de porc ou d'un steack !

Bon appétit !

Je dédicace cette recette à ma marraine, ma soeur Geneviève, qui nous a quitté il y a 8 ans.  8 longues années sans elle...

C'est avec elle et maman que j'ai fait mes premiers pas au fourneau.

La même passion pour la cuisine que nous partagions aussi avec mon parrain, mon frère Jules.